1983 - Publicité Tampon Nett : Femmes, je vous aime de Julien Clerc
S'il y en avait une chanson... C'est celle-là... LK Magazine (Elle K Magazine) adore : d'autres ont La Marseillaise, LK Magazine a cet hymne... A écouter en boucle, sans modération. Alors les filles, faites-vous plaisir !
Julien Clerc - Femmes je vous aime 1982 By ZapMan
Julien Clerc - Femmes je vous aime 1982 By ZapMan
Outre sa carrière de chanteur et de compositeur, Julien Clerc, au début des années 1980, a marqué l'univers de la publicité, tout particulièrement avec la publicité Nett. En 1983, Peter Lindberg réalise un spot publicitaire pour des serviettes hygiéniques : des femmes en blanc qui courent sur une plage avec, en bande sonore, une partie de la chanson Femmes, je vous aime. Ci-dessous une version de la publicité montrant quatre photographies de femmes exerçant différents métiers. La publicité de cette marque de "produit typiquement féminin" comme le mentionne Julien Clerc, avait donné à l'époque un nouveau souffle vigoureux à cette chanson.
D.R |
A chanter... Sous la douche ou ailleurs ! Quel bel hymne à la femme, une mélodie intemporelle... Apprenez les paroles !
Paroles: Jean-Loup Dabadie, musique: Julien Clerc
Quelquefois
Si douces
Quand la vie me touche
Comme nous tous
Alors si douces...
Quelquefois
Si dures
Que chaque blessure
Longtemps me dure
Longtemps me dure...
Femmes... Je vous aime
Femmes... Je vous aime
Je n'en connais pas de faciles
Je n'en connais que de fragiles
Et difficiles
Oui... difficiles
Quelquefois
Si drôles
Sur un coin d'épaule
Oh oui... Si drôles
Regard qui frôle...
Quelquefois
Si seules
Parfois elles le veulent
Oui mais... Si seules
Oui mais si seules...
Femmes... Je vous aime
Femmes... Je vous aime
Vous êtes ma mère, je vous ressemble
Et tout ensemble mon enfant
Mon impatience
Et ma souffrance...
Femmes... Je vous aime
Femmes... Je vous aime
Si parfois ces mots se déchirent
C'est que je n'ose pas vous dire
Je vous désire
Ou même pire
O... Femmes...
Olivia Ruiz, une femme en chocolat, DR |
Nous avons découvert Olivia Ruiz lors de la première diffusion de la Star Academy en 2001. Avant son succès grandissant, elle montait régulièrement sur scène avec son papa également musicien. Elle n'a pas gagné l'émission en question, en revanche elle a gagné en assurance, proposant un premier album à son image: familiale et sincère. La femme chocolat, vendu à 1 000 000 d'exemplaires nous a permis de découvrir une chanteuse-interprète pleine de poésie et d'humour.
Les paroles de la chanson peuvent être interprétées de façons différentes entre le désir charnel et la gourmandise. Certains s'amusent à dire qu'il s'agit d'une métaphore du passage de la femme-enfant à la femme-adulte. Olivia Ruiz se met dans la peau d'une adolescente avec ses complexes. Les hanches qui arrivent plus vite qu'on ne l'attendait, les seins qui poussent et les règles qui arrivent. Et surtout les premiers amours qui éveillent des sens alors encore dissimulés sous les traits d'une enfant naïve.
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat
Croque moi la peau, s'il-te-plaît
Croque moi les os, s'il le faut
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes tout petits seins
S'insinuent, pointues et dodues
Deux noisettes, crac! Tu les manges
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes lèvres entrouvertes
pousse un framboisier rouge argenté
Pourrais-tu m'embrasser pour me le couper...
Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c'est du chocolat chaud...
Un jour je vais m'envoler
A travers le ciel à force de gonfler...
Et je baillerai des éclairs
Une comète plantée entre les dents
Mais sur terre, en attendant
Je me transformerai en la femme chocolat...
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat...
Les paroles de la chanson peuvent être interprétées de façons différentes entre le désir charnel et la gourmandise. Certains s'amusent à dire qu'il s'agit d'une métaphore du passage de la femme-enfant à la femme-adulte. Olivia Ruiz se met dans la peau d'une adolescente avec ses complexes. Les hanches qui arrivent plus vite qu'on ne l'attendait, les seins qui poussent et les règles qui arrivent. Et surtout les premiers amours qui éveillent des sens alors encore dissimulés sous les traits d'une enfant naïve.
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat
Croque moi la peau, s'il-te-plaît
Croque moi les os, s'il le faut
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes tout petits seins
S'insinuent, pointues et dodues
Deux noisettes, crac! Tu les manges
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes lèvres entrouvertes
pousse un framboisier rouge argenté
Pourrais-tu m'embrasser pour me le couper...
Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c'est du chocolat chaud...
Un jour je vais m'envoler
A travers le ciel à force de gonfler...
Et je baillerai des éclairs
Une comète plantée entre les dents
Mais sur terre, en attendant
Je me transformerai en la femme chocolat...
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat...
Corneille, D.R |
De son vrai nom Cornelius Nyungura, Corneille a passé une partie de son enfance au Rwanda. Marqué par les conflits, ces textes reflètent cet univers de violence, de tristesse et d'horreur pour ces enfants. Et pour cause, Corneille a survécu à l'assassinat de sa famille en se cachant derrière un canapé. Recueilli par un couple d'allemand, ami de ses parents, il a pu suivre sa route et se construire une carrière sans encombre.
Le bon Dieu est une femme est tiré de l'album Les marchands de rêve sorti en 2005. Par ce titre, Corneille fait honneur à son public féminin en rendant hommage à la femme, à toutes ces femmes qui comptent, quelles soient mère, sœur, fille, épouse... Toutes ont un rôle à jouer dans la vie d'un homme qu'il soit bon ou mauvais.
La terre saigne depuis la nuit des tempsDe grandes misères et de guerres souvent
Et pour chaque soldat qui rentre,
Une femme attend
Les hommes, les pires et les tout-puissants
Les pires bourreaux et même Adolf vivant
Avaient tous au moins une femme qui
Les aimait tant
Quand c'est pas une sœur, c'est une mère qui aime
Et quand c'est pas la mère , c'est l'épouse qui aime
Et quand c'est pas l'épouse, c'est une autre femme
Ou une maîtresse qui espère alors
{Refrain:}
Si c'est vrai qu'elles nous pardonnent tout
Si c'est vrai qu'elles nous aiment malgré tout
Si c'est vrai qu'elles donnent aux hommes le jour
Moi je dis, que le bon Dieu est une femme
Nos mères paient depuis la nuit des temps
Depuis l'histoire de la pomme d'Adam
Elles portent les maux et les torts du monde,
Tout leur vivant
Le ciel bénisse la femme qui aime encore
Un infidèle jusqu'à la mort
Faut être Dieu pour être trahis et aimer plus fort
Quand c'est pas une sœur, c'est une mère qui aime
Et quand c'est pas la mère , c'est l'épouse qui aime
Et quand c'est pas l'épouse, c'est une autre femme
Ou une maîtresse qui espère alors
{au Refrain}
Si l'or du monde était dans la main d'une femme
On lui ferait la cour pour l'avoir
Imagine les hommes s'ils n'avaient qu'à chanter
L'amour pour avoir
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